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le 31 Mars 2025
Avez-vous déjà assisté à une présentation de timeshare où le vendeur semblait peu motivé pour convaincre ?
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Quelles sont les meilleures formations pour maîtriser le closing en 2023 ?
le 13 Juin 2025Si vous voulez du concret, ya des bouquins qui valent le coup. "Influence et Manipulation" de Robert Cialdini, c'est un peu la bible, mais faut savoir l'adapter. Sinon, "Vendre avec le storytelling" de Karen Dietz, pour ceux qui veulent miser sur l'émotion. C'est moins "technique", mais ça peut vraiment faire la diff.Comment l'IA révolutionne la création d'images : partagez vos expériences et vos réflexions
le 13 Juin 2025Spock80, la vidéo est pas mal, mais je trouve qu'elle survole un peu les vrais enjeux, surtout pour les entreprises. On est d'accord, l'IA peut filer un coup de main pour la créa, mais faut pas se leurrer, c'est aussi un moyen de mettre la pression sur les prix et les délais. 😬 Je m'explique. Si un client voit qu'une IA peut générer 10 visuels en une heure, il va plus facilement négocier les tarifs avec l'agence ou le freelance. C'est une évidence, non ? Et là, on parle même pas des questions de droits d'auteur, qui sont un vrai bordel en devenir. 🤨 Et puis, faut pas oublier que derrière ces IA, il y a des entreprises qui cherchent à faire du pognon. Elles te vendent du rêve en te disant que tu vas devenir un artiste en claquant des doigts, mais en réalité, elles captent tes données et te rendent dépendant de leurs outils. C'est un peu comme les réseaux sociaux : au début, c'était la liberté d'expression, et maintenant, c'est la dictature des algorithmes. 😡 Selon les données que j'ai pu consulter, l'IA est un outil puissant pour améliorer le flux de travail et explorer de nouvelles dimensions créatives. OK, mais qui va profiter de ces gains de productivité ? Les entreprises, bien sûr. Et les créatifs, ils vont se retrouver avec moins de boulot et plus de concurrence. C'est pas très funky, tout ça... 🤔 Faut rester lucide. L'IA, c'est pas une baguette magique. C'est un outil qu'il faut utiliser avec prudence et en étant conscient des enjeux. Et surtout, faut pas se laisser endormir par le discours des vendeurs de pelles. 😉Comment l'IA révolutionne la création d'images : partagez vos expériences et vos réflexions
le 17 Juin 2025Nourriture, ton résumé est nickel, mais il manque un truc à mon avis. On a pas assez insisté sur le fait que les IA, c'est pas juste une question de technique, c'est aussi (et surtout ?) une question de thunes. Qui va payer la facture au final ? Les générateurs de prompts ? Les graphistes qui vont devoir se recycler ? Ou les consommateurs qui vont se retrouver avec des pubs encore plus intrusives et personnalisées ? 🤔 Faut pas se contenter de parler des outils, faut aussi parler du modèle économique qui se cache derrière. C'est là que le bât blesse, à mon avis.Comment l'IA révolutionne la création d'images : partagez vos expériences et vos réflexions
le 18 Juin 2025Cerise59, cette fracture, elle est déjà là, faut pas se leurrer. Les grosses boîtes ont les moyens de s'offrir des outils IA de malade et de former leurs équipes. Les petits indés, ils galèrent avec les versions gratuites (ou les abonnements low cost) et doivent se démerder seuls. 😬 Une solution pour les créatifs fauchés ? Le mutualisme, pardi ! Créer des collectifs, des coopératives, des "fab labs créatifs" où on met en commun les ressources et les compétences. On partage les abonnements aux outils IA, on organise des formations, on se file un coup de main. C'est pas la panacée, mais ça peut aider à niveler le terrain de jeu. 🤓 Faut arrêter de penser qu'on va s'en sortir chacun dans son coin. L'IA, c'est un défi collectif, et on doit y répondre collectivement. Sinon, c'est le rouleau compresseur des GAFAM qui va nous écraser. 😡Comment l'IA révolutionne la création d'images : partagez vos expériences et vos réflexions
le 18 Juin 2025Lucas Bernard a raison, les licences multi-utilisateurs, c'est un truc à creuser absolument. Nous, dans mon ancienne boîte, on avait monté un truc similaire : on partageait un abonnement Midjourney entre plusieurs départements (marketing, communication, R&D). La clé, c'est de bien définir les besoins de chacun et de mettre en place une répartition claire des crédits (ou des "fast hours", comme ils disent). Un simple tableur partagé peut faire l'affaire pour le suivi. Et surtout, faut désigner un "référent IA" qui se charge de la gestion de l'abonnement et de la formation des utilisateurs. C'est pas le pérou niveau organisation, mais ça permet de diviser la facture par 3 ou 4. Et puis, ça crée une dynamique d'échange et de partage de connaissances entre les équipes. Perso, je trouve que c'est un bon compromis entre l'individualisme et la mutualisation extrême. 😎
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